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DIPLOMATIE - THERESA MAY EN VISITE À LA MAISON BLANCHE

Quelques jours avant sa prestation de serment, Donald Trump affichait déjà une volonté de conclure "rapidement" un accord commercial avec le Royaume-Uni, qui négocie actuellement les conditions de sa sortie de l'Union européenne. Pas étonnant donc que Theresa May, la Première ministre britannique ait été, hier, le premier dirigeant étranger à être reçu par le président des États-Unis. "C'est un grand honneur d'être ici", a-t-elle notamment déclaré.

Lors de la conférence de presse organisée après la rencontre, Donald Trump a annoncé qu'il se rendrait au Royaume-Uni dans les prochains mois. "J'ai pu aujourd'hui transmettre à Sa Majesté la reine l'espoir que le président et la Première dame se rendront en visite au Royaume-Uni avant la fin de l'année. Et je suis ravie qu'il ai accepté cette invitation", a déclaré Theresa May en soulignant "l'importance" de la relation entre les deux pays. Theresa May a également indiqué que le président américain soutenait "à 100 %" l'Otan, pourtant objet de vives critiques de la part du nouveau locataire de la Maison Blanche.

Un entretien avec Hollande aujourd'hui

Concernant la Russie, Donald Trump a affirmé qu'il était "très tôt" pour parler de lever les sanctions, alors même qu'ils s'entretiendra aujourd'hui au téléphone avec Vladimir Poutine, François Hollande et Angela Merkel.

Enfin, Donald Trump a de nouveau déclaré qu'il laisserait son ministre de la Défense, James Mattis, décider s'il faut réinstaurer la torture aux États-Unis

ÉTATS-UNIS - MARCHE "HISTORIQUE" DES MILITANTS ANTI-AVORTEMENT

Galvanisés par le soutien de Donald Trump, des dizaines de milliers de militants anti-avortement ont manifesté hier à Washington. "Nous voici à un tournant historique", a lancé à la tribune Mike Pence, premier vice-président américain à assister à cette "March for Life", grand rendez-vous annuel des militants "pro-life".