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L'AIR DU TEMPS

COMPRENDRE L'EPOQUE

Des articles et faits divers, tirés de la presse, pour comprendre notre histoire au présent, et l'époque que l'on vit...


Franceinfo - le samedi 18 février 2023 - Intelligence artificielle

 

Les droits humains sont "gravement menacés" par l'intelligence artificielle, selon l'ONU

 


19/02/2023
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Franceinfo - le jeudi 14 octobre 2021 - Chantage à la webcam

 

VIDEO. "En deux heures de temps, Quentin a vécu un enfer" : victime d'un chantage à la webcam, l'adolescent s'est suicidé

 


17/10/2021
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Franceinfo - le vendredi 17 septembre 2021

 

#Anti2010 : trois questions sur ce mouvement à l'origine de harcèlement visant des collégiens nés en 2010


Cyberharcèlement : le hashtag #anti2010 banni de TikTok


Cyberharcèlement : le hashtag #anti2010 est "à prendre au sérieux, internet n'est pas une zone de non-droit", insiste une association

 

 

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18/09/2021
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Franceinfo - le dimanche 12 septembre 2021

 

GRAND ENTRETIEN. Comment le 11-Septembre a ouvert la voie au complotisme à grande échelle

 


13/09/2021
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Franceinfo - le jeudi 3 juin 2021

 

Affaire Mila : "Jamais dans l'histoire de ce pays, une jeune fille n’a reçu 100 000 messages haineux", souligne son avocat Richard Malka

 

 


04/06/2021
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Franceinfo - le 16.05.2021 - Les mardi 18, mercredi 19 et jeudi mercredi 20 mai 2021

 

 

DIRECT. Rassemblement de policiers à Paris : 35 000 manifestants selon les syndicats, Gérald Darmanin accueilli par des huées


VIDEO. Manifestation de policiers : "Je vais rester les saluer, je vais leur dire que nous les aimons", explique Gérald Darmanin


Manifestation des policiers : pourquoi il est si difficile de mesurer les violences contre les forces de l'ordre


REPORTAGE. A Creil, des policiers ont le sentiment d'être de plus en plus pris pour cibles


Violences contre les forces de l'ordre : "Ils nous ont laissés pour morts", témoigne un policier blessé

 


21/05/2021
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Franceinfo - le mercredi 10 mars 2021

 

VIolences entre bandes : "La médiatisation encourage le phénomène", estime le sociologue Gérard Mauger

 

Ce spécialiste, auteur du livre "La sociologie de la délinquance juvénile", décrypte pour franceinfo les récentes rixes qui se sont multipliées en Ile-de-France


TRIBUNE. Rixes entre bandes rivales : "Face aux faits de violences entre jeunes, privilégions l’action sociale, l’éducation et la médiation !"

 

Professionnels de l’éducation et du social, acteurs de la justice des mineurs, représentants du monde associatif... Plus de 110 signataires publient une tribune mercredi sur franceinfo.fr dans laquelle ils apportent leur analyse et proposent des actions afin de tenter d'éviter de nouveaux "drames terribles"


Essonne : "Les rixes entre bandes ont augmenté à la fois en nombre, en intensité et en gravité", selon le préfet


Rixes : le Premier ministre mobilise le gouvernement pour faire face au phénomène des bandes


VIDEO. "Il faut savoir se défendre" : en Essonne, un adolescent repenti raconte la violence des affrontements entre bandes de mineurs

 


10/03/2021
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Franceinfo - le dimanche 24 janvier 2021 - mis à jour le 25.01.2021

 

TEMOIGNAGE. "Je veux vivre, moi, pas mourir ici" : le long calvaire d'Asad, jeune Tchétchène élevé en France, coincé dans une prison kurde en Syrie

 


26/01/2021
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Témoignage historique de Loulou - novembre 2020

 

 

De Facebook - Fabrice ARIZA

 

 

 

 

 
Lors du 1er confinement ma fille avait écrit un texte avec sa vision d'une ado de 15 ans en 2020... Voici ses 2èmes pensées d'une ado PÉTILLANTE de 16 ans depuis le 24 septembre toujours en 2020... PRENEZ LE TEMPS DE LIRE LES AMIS...
 
 
"Coronavirus, texte du 27/10/2020
 
 
Bonjour a tous, petit point sur le coronavirus, appelé aussi COVID 19. En 2020 le contact humain n’est plus possible, la liberté de vivre des moments, des instants inoubliables avec nos familles, nos amis sont interdits.
 
 
Vous allez me dire, ‘’ mais depuis mars, avril rien n’a changé ? ‘’. Vous allez être surpris de ma réponse mais OUI ! La mentalité des gens, de la population mondiale a changé. Cette population est rongée par la peur aujourd’hui. A cause des réseaux sociaux, des médias et des incertitudes qui nous entourent. Aux lieux de nous rassurer, de nous sortir la tête de l’eau, ces « médias » nous enfoncent un peu plus chaque jour.
 
 
Nous n’en savons pas plus sur ce fichu virus, nous ne savons même pas s’il est au masculin ‘’ le covid ’’ ou alors au féminin ‘’ la covid ‘’. Ha si ! Pardon ! nous savons qu’il est très dangereux pour les plus fragiles d’entre nous. Les tests sont maintenant gratuits donc forcément la population veut se rassurer. Malheureusement ça n’arrange pas la situation car le nombre de tests effectués a doublé et à cause de ça il existe maintenant ‘’des faux positifs’’.
 
 
Reparlons du contact humain, cette chose qui pour moi est super important. Le contact de la peau, les câlins, les embrassades, en 2020 tout cela est devenu un crime. Tu es puni pour donner de l’amour ! Le contact humain est vital et les gens en ont peur, même serrer la main est devenu compliqué. Le masque est même devenu un accessoire de mode, ton masque doit être absolument en raccord avec ta tenue du jour. Et montrer ton beau sourire aux autres est également puni avec des amendes élevées à 135 euros.
 
 
Ce que je ne comprends pas c’est que les médecins et les chercheurs disent qu’il n’y aura pas de 2e vagues et pourtant on nous y prépare. Mais nous avons au moins 1 bonne nouvelle dans tout ça c’est qu’ils ont peut-être trouvé un vaccin qui va arriver fin 2020 et testé sur tout le monde début 2021… mais sincèrement je ne sais pas si cela est vrai ou malheureusement un « PUT A CLICK ».
 
 
Le monde a changé, et moi en tant qu’adolescente de 16 ans, je n’ai pas peur du coronavirus mais j’ai peur du monde qui m’entour et surtout de mon futur. A quoi va-t-il ressembler ? Est-ce que ce cauchemar éveillé sera fini un jour ? Vais-je un jour retrouver une belle vie avec les gens que j’aime sans que l’on me mette le stress et la pression à longueur de journée ? Voilà ce qui se passe dans la tête d’une adolescente de 16 ans. Vous en êtes fiers ?
 
 
Pour finir, je vais dire que ‘’ je préfère crever la tête haute que de vivre soumise à des lois incompréhensibles ‘’
 
 
Je demande une chose, c’est de vivre ma vie normalement sans que la peur vienne frapper à ma porte…
 
 
Avis d’une adolescente de 16 ans qui ne reconnait plus le monde dans lequel elle est née."
 

26/11/2020
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Franceinfo - le vendredi 20 novembre 2020

 

 

Covid-19 : "On a l'impression de rater notre jeunesse", racontent ces jeunes confinés à la campagne

 

"C'est dur d'avoir 20 ans en 2020", disait Emmanuel Macron il y a un mois. Ce confinement se vit-il de la même façon selon que l'on habite en ville ou à la campagne ? Dans l'Allier, franceinfo est allé à la rencontre de jeunes qui vivent parfois loin de leurs amis ou de leur établissement scolaire.

 

 

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Image par Free-Photos de Pixabay 

 

 

 

Covid-19 : la jeunesse est la génération qui souffre le plus du confinement et la plus pénalisée par l'épidémie, selon notre sondage

 

Selon un sondage Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et "Le Figaro", une majorité des 15-30 ans subissent le deuxième confinement même s'il est jugé comme une bonne mesure pour stopper l'épidémie de Covid-19.

 


20/11/2020
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Jean de LA FONTAINE version XXIe siècle

 

 

 

2020 ACMO MOURY

 

 


04/11/2020
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Franceinfo - le jeudi 30 juillet 2020

 

 

Des survivants de l'Holocauste demandent à Facebook le retrait de contenus négationnistes

 

 

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Image par Gerd Altmann de Pixabay 


02/08/2020
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Franceinfo - le lundi 15 juin 2020

 

 

Témoignages - Violences à Dijon : les habitants des Grésilles partagés entre colère et indignation

 

 

 

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Ce lundi, le quartier des Grésilles a retrouvé un peu de calme après un week-end marqué par de vives tensions. / © France 3 Bourgogne

 

 

 
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Par Yoann Etienne avec Maryline Barate et Cécile Sauzay

 

 

L'émotion est grande aux Grésilles après ces trois nuits de violences. Ce lundi 15 juin, des habitants affichent leur colère face à ce qu'ils nomment "des miliciens" mais aussi face à l'attitude du préfet et des forces de l'ordre, trop passives selon eux.

 

 

Ces trois nuits de violence ont été vécues comme un traumatisme par les habitants du quartier. Pour beaucoup, ce lundi, ce sont les sentiments d'indignation et de colère qui prédominent. 

 

 

"C'est beaucoup de colère et d'injustice", dénonce l'un des habitants interrogé cet après-midi. "C'est de l'injustice flagrante car comment vous pouvez considérer qu'une bande de 150 personnes puissent agir ainsi et qu'il n'y ait aucune interpellation. Et que cela fait trois jours que cela dure ! On a failli avoir un mort, un blessé par balles, un accident grave... et ils faisaient quoi la police ?"

 

 

"Si les rôles étaient inversés, on aurait déjà des problèmes avec la police". Un habitant des Grésilles

 

 

L'indignation monte après ce week-end de violences urbaines. Plusieurs "anciens" ne comprennent pas l'attitude de la police et l'impunité dont auraient pu bénéficier les membres de la communauté tchétchène, coupables selon eux de violences dans le quartier. Ils dénoncent la passivité et l'attitude des forces de l'ordre.

 

 

Certains n'hésitent pas à parler "d'alliance" entre la police et la communauté tchétchène. "Il y a deux poids, deux mesures. Si les rôles étaient inversés, on aurait déjà des problèmes avec la police," témoigne l'un d'entre eux. "On paie nos impôts, on a le droit d'être protégés".

 

 

Un autre de rajouter : " La police, on n'a rien contre. Au contraire". 

 

 

"Ils attendent qu'il y ait du sang ? Quand on ne bouge pas comme ça, c'est qu'on a l'ordre de ne pas intervenir. C'est quoi le but ?" s'interroge l'un des habitants, très remonté contre l'autorité préfectorale. "Laissez-les se débrouiller entre eux ? Et après, on nous bassine avec l'état de droit. La police, on n'a rien contre. Au contraire. Elle est là pour assurer la sureté nationale. Donc, à un moment, il faut respecter son contrat." 

 

 

 

Un sentiment d'abandon de l'Etat

Après ces trois nuits mouvementées, entre incrédulité et sidération, certains habitants nous ont fait part du sentiment d'abandon de l'Etat, parfois avec des mots forts. "L'Etat nous a délaissés", témoigne de manière anonyme un jeune du quartier. "Pendant trois jours, ils ont été protégés par la police et ça c'est du jamais vu."

 

 

"Quand on nous laisse dans une zone comme ça. Là, c'est du non droit", dénonce un autre habitant. "On a à faire à des mercenaires. Ils arrivent à venir là, protégés et à vouloir mettre un coup de pression à la population du quartier. Mais on va où ?"

 

 

 

L'appel au calme 

Après ces violences se pose la question de l'après. Une centaine de gendarmes vont être déployés en renfort dès ce lundi soir dans le centre-ville de Dijon et dans le quartier des Grésilles mais certains se posent la question de savoir si ce n'est-ce pas trop tard ? Beaucoup d'habitants ont très mal vécu ces trois jours. Certains parlent de traumatisme.

 

 

Mais si les Tchétchènes ont l'intention de revenir, ils pourraient cette fois faire face à une révolte organisée dans le quartier. Certains élus et habitants appellent au calme. 

 

 

"J'appelle à du calme, un retour à la normale". Hamad El Hassouni, adjoint à la ville. 

 

 

Hamad El Hassouni est adjoint à la ville de Dijon. Cet élu du quartier des Grésilles juge lui aussi l'action préfectorale défaillante et redoute que cela laisse des traces. "Il ne faut pas envisager le pire des scénarios. Moi, j'appelle à du calme, un retour à la normale. Mais pour retrouver une situation normale, il faut que la sécurité soit garantie pour tous les habitants, y compris les habitants du quartier des Grésilles."

 

 

Dans un message publié sur sur compte facebook ce matin, il n'a pas caché sa colère et n'a pas hésité à remettre en cause l'action du préfet. 

 

 

Les réactions politiques

 

A moins de deux semaines du second tour des municipales, les événements des nuits dernières n’ont pas manqué de faire réagir les candidats têtes de listes.

 

 

Pour le maire sortant François Rebsamen (PS) : "Ce n’est pas un problème "dijonno dijonnais", c’est un problème de la République", laissant entendre qu’il renvoie toute responsabilité sur les services de l’Etat.

 

 

Son adversaire de droite Emmanuel Bichot (LR) trouve une toute autre explication : "Pendant le confinement, beaucoup de choses se sont passées dans les immeubles dans les cages d’escalier. Aujourd’hui, tout ça ressort avec force".

 

 

Quant à la candidate écologiste Stéphanie Modde (EELV), pour elle, "dans une ville de la taille de Dijon, où on a très souvent une criminalité dite « de province », c’est extrêmement choquant".

 

 

Quelles que soient les positions des uns et des autres, ces événements viennent de rentrer pleinement dans la campagne des municipales.

 

16/06/2020
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