ROYAUME-UNI
Maintenant que le Royaume-Uni a quitté l'Europe (Brexit) je lui consacre donc une rubrique à part entière.
Franceinfo - le mardi 12 janvier 2021
De l'Ecosse à l'Irlande, comment le Brexit met à mal l'unité du Royaume-Uni
Image par Gerd Altmann de Pixabay
Franceinfo - le dimanche 13 décembre 2020
Brexit : dans le Kent, aux portes du Continent, la perspective d'un "no deal" inquiète les habitants
Le Progrès du dimanche 5 juillet 2020
ROYAUME-UNI
En Angleterre, marée humaine attendue pour la réouverture des pubs
L'Angleterre a entamé, samedi, son déconfinement des lieux publicvs avec, en premier lieu, ses pubs. La police s'attend à voir affler des millions de personnes ce week-end - soit des chiffres comparables à un jour de l'An. Les hôtels, salons de coiffure, cinémas et musées seront également rouverts. L'Écosse, le Pays de Galles et l'Irlande du Nord ont, en revanche, choisi de suivre leur propre calendrier. Le nombre de nouveaux cas du coronaviruès ralentit au Royaume-Uni, mais il rste le pays le plus touché d'Europe avec plus de 44 000 morts.
Image par Hin und wieder gibts mal was. de Pixabay
Franceinfo - le samedi 27 juillet 2019
Brexit : Boris Johnson voit la sortie de l'UE comme une "énorme opportunité économique"
Le nouveau Premier ministre britannique n'a pas hésité à critiquer sa prédécesseure Theresa May, en estimant qu'elle avait traité le Brexit comme un "évènement climatique hostile"
Boris Johnson lors d'une conférence de presse à Manchester au Royaume-Uni, le 27 juillet 2019. (RUI VIEIRA / AP)
Un optimisme à toute épreuve. Boris Johnson a affirmé, samedi 27 juillet, que le Brexit représentait une "énorme opportunité économique". Le nouveau Premier ministre britannique a fait cette déclaration en dévoilant ses priorités en matière de santé, éducation et infrastructures.
"Quitter l'Union européenne est une énorme opportunité économique pour faire des choses que nous n'avons jamais été autorisés à faire pendant des décennies", a déclaré Boris Johnson. Il a également estimé que le Brexit a été traité par Theresa May, à qui il a succédé, comme un "évènement climatique hostile".
Plus de pouvoirs aux communautés locales
A la tête du gouvernement depuis mercredi, Boris Johnson a assuré qu'il allait intensifier les négociations sur les accords commerciaux post-Brexit et mettre en place des ports francs pour stimuler l'économie. Il a également évoqué des investissements dans les régions favorables à une sortie de l'Union européenne."Quand les gens ont voté pour quitter l'Union européenne, ils n'ont pas seulement voté contre Bruxelles, mais aussi contre Londres", a-t-il dit.
Le Premier ministre a également promis de donner plus de pouvoirs aux communautés locales, et de renforcer les infrastructures de télécommunications et de transport. Il a ainsi annoncé un fonds de 3,6 milliards de livres sterling (4 milliards d'euros), le "Towns' Fund" ("Fonds pour les villes") pour soutenir 100 villes en difficulté, "afin qu'elles disposent des transports améliorés et des réseaux de télécommunications améliorés dont elles ont besoin".
La ligne rouge du "backstop"
Interrogé sur les négociations liées au Brexit, Boris Johnson a dit qu'il était prêt à s'engager avec les partenaires de l'UE, mais seulement si le "backstop" - clause de sauvegarde qui permettrait d'éviter en dernier recours le retour d'une frontière physique entre l'Irlande, membre de l'UE, et l'Irlande du nord, britannique - était retiré de l'accord de divorce en vigueur conclu par Theresa May.
"L'approche du gouvernement du Royaume-Uni n'est pas de se désengager, ni d'être distant, ni d'attendre qu'ils viennent à nous, nous allons essayer de résoudre ce problème", a ajouté le Premier ministre. "Nous ne pouvons pas le faire tant que ce backstop anti-démocratique, qui cherche à diviser notre pays, diviser le Royaume-Uni, reste en place. Nous avons besoin de le supprimer et ensuite, nous pourrons avancer", a-t-il encore affirmé.
Franceinfo - le lundi 9 juillet 2018
Brexit : le ministre Boris Johnson démissionne, en désaccord avec la stratégie du gouvernement May
C'est le deuxième départ en deux jours du gouvernement de Theresa May, après celui du ministre du Brexit, David Davis, dimanche
Crise politique chez nos voisins d'outre-Manche. Le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a démissionné lundi 9 juillet, au lendemain du départ du ministre chargé du Brexit, David Davis. "Cet après-midi (lundi), la Première ministre a accepté la démission de Boris Johnson, a indiqué Downing Street dans un communiqué. Les deux ministres étaient en désaccord avec Theresa May sur la future relation entre le Royaume-Uni et l'Union européenne, après le Brexit.
Theresa May a présenté vendredi 6 juillet à ses ministres un accord sur la volonté de maintenir une relation commerciale post-Brexit étroite avec l'UE. David Davis, eurosceptique convaincu, a estimé dans sa lettre de démission que la voie suivie ne permettrait pas de délivrer ce pour quoi les Britanniques avaient voté. "Au mieux, nous serons dans une position de faiblesse pour négocier" avec Bruxelles, a-t-il estimé.