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L'AIR DU TEMPS

Encore triste constat - Violences aux abords des collèges

 

 

Dans nos rues et nos quartiers, une ombre sombre plane, celle de la violence qui s'abat sur nos enfants. Entre l'indifférence étatique qui préfère ne pas agiter les eaux, le flou des limites parentales, et une société qui semble parfois plus encline à protéger les agresseurs qu'à défendre les victimes, nos enfants sont livrés à eux-mêmes face à une cruauté inacceptable.

 

 

 

À la sortie des lycées et des collèges, là où l'on devrait sentir la sécurité et l'apprentissage, certains jeunes sont confrontés à un tout autre scénario : des bandes, des brutes, des agresseurs sans scrupules, prêts à tabasser impunément, à terroriser les plus vulnérables. Des scènes de violence où l'on compte parfois jusqu'à dix individus s'acharnant sur un seul adolescent, comme s'ils n'avaient aucun respect ni aucune empathie pour la vie humaine.

 

 

 

Cette réalité est néfaste, inacceptable et révoltante. Elle témoigne d'un profond échec de notre société à protéger ses plus jeunes membres, à leur offrir un environnement sûr et bienveillant où ils peuvent grandir et s'épanouir. Elle révèle également un manque criant d'autorité, de responsabilité et de solidarité collective pour mettre fin à cette spirale de violence qui empoisonne nos rues et menace l'avenir de nos enfants.

 

 

 

Il est temps de dire haut et fort que cette violence est inacceptable, qu'elle ne doit plus être tolérée, ni ignorée. Il est temps de prendre des mesures concrètes pour protéger nos enfants, pour leur offrir un avenir où ils peuvent grandir en toute sécurité, entourés d'amour et de respect. Car aucun enfant ne mérite de vivre dans la peur, aucun enfant ne mérite d'être la cible de la lâcheté et de la violence des autres. Il est de notre devoir de leur offrir un monde meilleur, où la paix et la bienveillance règnent en maître.

 


 

La scène est désolante et pourtant bien trop répandue : des enfants, notre avenir, se retrouvent pris au piège d'un cycle de violence inacceptable. Entre le silence assourdissant de l'État, le manque flagrant d'autorité, la démission des parents et une protection exacerbée, nos rues et nos quartiers deviennent le théâtre de véritables cauchemars pour ces jeunes âmes.

 

 

 

La violence qui sévit est une trahison envers notre devoir de protection et d'éducation. Des scènes d'agressions brutales, impensables, où des enfants sont tabassés à la sortie des lycées, des collèges, par des bandes sans scrupules. Leurs seuls torts ? Exister au mauvais endroit, au mauvais moment.

 

 

 

Comment pouvons-nous tolérer une telle horreur ? Les cris de détresse de ces enfants, souvent étouffés par le poids de la peur et de la stigmatisation, sont ignorés, minimisés, relégués au second plan. Mais chaque coup, chaque insulte, chaque traumatisme infligé à ces jeunes est une tache indélébile sur notre conscience collective.

 

 

 

Il est temps de briser le silence complice, de prendre conscience que la tolérance zéro face à la violence ne peut être qu'une exigence non négociable. L'État, les autorités, les parents, la société toute entière doivent se dresser contre ces actes odieux et les combattre avec la plus grande fermeté.

 

 

 

Protéger nos enfants ne devrait jamais être une option, mais une obligation sacrée. Car chaque enfant agressé, chaque enfant traumatisé, est une blessure profonde infligée à notre humanité et à notre avenir. Il est grand temps d'agir, ensemble, pour que nos rues et nos quartiers redeviennent des espaces de sécurité et d'épanouissement pour tous nos enfants.

 

 



05/04/2024
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