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L'AIR DU TEMPS

HISTOIRE POSITIVE

L'Histoire peut aussi réserver de belles surprises. Des peuples, qui enfin font des efforts pour créer, voire recréer des liens entre eux. C'est ce qui pour moi représente l'HISTOIRE positive...  Si elle pouvait enfin prendre le pas sur la sombre Histoire des hommes qui se répète inlassablement ! Je vous propose, au fil du temps, de mettre en valeur les articles, hélas encore peu nombreux, de l'HISTOIRE POSITIVE...


Franceinfo - le vendredi 29 décembre 2023 - Bonnes nouvelles 2023

 

 


30/12/2023
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Franceinfo - le mercredi 9 août 2023 - Amazonie

 

Les pays sud-américains d'Amazonie forment une "alliance" contre la déforestation pour "éviter le point de non-retour"

 

 

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Image par Turiano L P Neto de Pixabay


09/08/2023
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Franceinfo - le mardi 27 décembre 2022 - Bonnes nouvelles année 2022

 

Voici 22 bonnes nouvelles qui ont marqué l'année 2022 (oui, il y en a !)

 


28/12/2022
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Franceinfo - le vendredi 31 décembre 2021 - 21 bonnes nouvelles

 

Voici 21 bonnes nouvelles qui ont (malgré tout) marqué l'année 2021

 


01/01/2022
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Franceinfo - le vendredi 3 septembre 2021

 

La France n'a officiellement plus de grippe aviaire, annonce le ministère de l'Agriculture

 


04/09/2021
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Franceinfo - le dimanche 4 juillet 2021

 

Mali : la radio Studio Tamani diffuse en cinq langues et "donne la parole à tout le monde", pour œuvrer à la réconciliation

 


04/07/2021
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Franceinfo - le mardi 29 décembre 2020

 

2020, une année noire ? Oui, mais nous avons trouvé 52 bonnes nouvelles pour la voir autrement !

 

Le Covid-19 domine encore l'actualité. Pourtant, cette année, il y a eu aussi des bonnes nouvelles, passées parfois inaperçues. En voici 52.  

 


29/12/2020
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Franceinfo - le samedi 29 février 2020

 

 

Afghanistan : les Etats-Unis et les talibans signent un accord historique après dix-huit ans de guerre

 

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franceinfo avec ReutersFrance Télévisions

 

 

Les Américains et l'Otan retireront toutes leurs troupes d'Afghanistan dans un délai de 14 mois si les taliban tiennent leurs engagements

 

 

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Mike Pompeo, le chef de la diplomatie américaine, aux côtés de Mohammed Ben Abderrahmane Al-Thani, son homologue du Qatar, à Doha (Qatar), le 29 février 2020. (GIUSEPPE CACACE / AFP)

 

 

 

Un moment historique. Les Etats-Unis et les talibans on signé un accord de paix, samedi 29 février, après dix-huit ans de guerre. Les Américains et les autres pays de l'Otan présents sur place (Allemagne, Royaume-Uni et Italie, notamment) retireront toutes leurs troupes d'Afghanistan dans un délai de 14 mois si les talibans tiennent leurs engagements, ont déclaré les gouvernements américain et afghan dans une déclaration commune. "La coalition achèvera le retrait des troupes qui restent en Afghanistan dans un délai de 14 mois à compter de la publication de cette déclaration conjointe et de l'accord Etats-Unis-talibans (...) à condition que les talibans respectent leurs engagements pris aux termes de l'accord Etats-Unis-talibans", peut-on lire.

 

 

Les Etats-Unis commenceraient par ramener à 8 600 hommes leur contingent dans les 135 jours suivant la signature de l'accord avec les talibans, qui doit intervenir dans l'après-midi à Doha, ajoute la déclaration. Enfin, le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a appelé samedi les talibans à se garder de "crier victoire" et à "tenir la promesse de rupture avec Al-Qaïda".

 


02/03/2020
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Franceinfo - le mercredi 3 avril 2019

 

 

Etats-Unis : Lori Lightfoot, une femme noire élue maire de Chicago pour la première fois

 

 

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franceinfo avec ReutersFrance Télévisions

 

 

 

Elle est également la première femme ouvertement lesbienne à devenir maire de la troisième plus grande ville américaine

 

 

 

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Lori Loghtfoot, lors de son discours de victoire à l'élection municipale de Chicago (Illinois), le 2 avril 2019. (SCOTT OLSON / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)

 

 

 

Un vote historique dans une ville qui n'a été dirigée, depuis 1837, qu'une fois par un homme noir et une fois par une femme. La démocrate Lori Lightfoot, 56 ans, ancienne procureure fédérale, noire et lesbienne, a été élue maire de Chicago (Etats-Unis), mardi 2 avril. Elle a très nettement devancé sa rivale, Toni Preckwinkle, elle aussi afro-américaine, en remportant 74% des suffrages.

 

 

"C'est le changement contre le statu quo", a affirmé Lori Lightfoot à l'encontre de son adversaire, élue locale depuis plusieurs décennies et actuelle dirigeante du comté de Cook, dans lequel se situe Chicago. Les deux démocrates étaient arrivées en tête du premier tour de l'élection municipale fin février avec respectivement 17,5 et 16% des suffrages. Elles ont devancé les 12 autres prétendants à la succession du démocrate Rahm Emanuel, en poste depuis 2011.

 

 

 

"Vous avez fait plus qu'écrire l'histoire"

Lori Lightfoot a fait campagne avec un programme progressiste, promettant notamment de réduire les inégalités sociales et raciales, dans une ville marquée par la défiance entre police et minorités, les inégalités profondes entre quartiers et une criminalité importante"Vous avez fait plus qu'écrire l'histoire. Vous avez initié un changement", a déclaré Lori Lightfoot lors d'un discours devant des centaines de partisans. "Nous pouvons et allons reconstruire Chicago", a-t-elle ajouté, promettant de mettre fin à la corruption et de rendre les rues à nouveau sûres.

 


03/04/2019
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Franceinfo - le lundi 1er avril 2019

 

 

Le Japon nomme "Reiwa" l'ère du futur empereur Naruhito, qui débutera le 1er mai

 

 

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franceinfo avec AFPFrance Télévisions

 

 

 

"Cela signifie la naissance d'une civilisation où règne une harmonie entre les êtres", a précisé en conférence de presse le Premier ministre Shinzo Abe

 

 

 

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Le secrétaire général du Cabinet, Yoshihide Suga, annonce le nom de la nouvelle ère impériale, lors d'une conférence de presse, à Tokyo (Japon), le 1er avril 2019. (KAZUHIRO NOGI / AFP)

 

 

 

L'ère impériale qui accompagnera le règne de l'empereur du Japon Naruhito, après l'abdication de son père Akihito, se prononce "Reiwa". Ce nom est composé de deux idéogrammes qui peuvent signifier "agréable" ou "ordre" et "harmonie" ou "paix". "Cela signifie la naissance d'une civilisation où règne une harmonie entre les êtres", a précisé en conférence de presse le Premier ministre Shinzo Abe, lundi 1er avril. "Le printemps vient après l'hiver sévère, ce nom veut marquer le début d'une période qui déborde d'espoir", a-t-il ajouté.

 

 

Le terme est extrait d'un poème japonais faisant référence à la nature, issu du plus ancien recueil de poèmes japonais, appelé Manyoshu. "C'est la première fois qu'il s'agit d'un terme issu de textes japonais" et non chinois, a précisé le chef du gouvernement, se disant "fier de la longue histoire du Japon". L'appellation de cette ère, dont la révélation est en soi un événement historique pour les Japonais, est le résultat d'une réflexion de plusieurs mois entre experts, personnalités d'origines diverses et dirigeants politiques. "C'est un nom magnifique", a commenté le prix Nobel de médecine Shinya Yamanaka, qui faisait partie des neuf membres du comité de personnalités.

 

 

 

Une abdication inédite depuis deux siècles

Ce nom accompagnera le règne de Naruhito qui débutera le 1er mai, pour succéder à Akihito, dont l'ère est "Heisei" ("parachèvement de la paix"). Le décret définissant le nom de la nouvelle ère, qui débutera le 1er mai, est signé par l'actuel empereur Akihito. Le 30 avril, lorsqu'il abdiquera et que débutera le lendemain l'ère "Reiwa", Akihito portera le titre d'empereur émérite A la minute même de l'annonce, les fabricants de calendriers ont lancé les presses pour sortir immédiatement des calendriers exceptionnels portant le nom de la nouvelle ère et débutant le 1er mai 2019.

 

 

Akihito, âgé de 85 ans, laissera le trône du chrysanthème un peu moins de trois ans après avoir signifié en août 2016 son intention de se retirer de son vivant. C'est la première fois en deux siècles qu'un empereur japonais abdique. La loi sur la Maison impériale ne prévoit pas une telle disposition. Selon ce texte, révisé en 1947, le décès de l'empereur ouvre la succession.


01/04/2019
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Franceinfo - mercredi 27 mars 2019

 

 

Rwanda-RDC : les présidents Paul Kagame et Félix Tshisekedi d'accord pour dépasser le passé

 

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franceinfo Afrique avec agencesRédaction AfriqueFrance Télévisions

 

 

 

Le nouveau président de la République démocratique du Congo (RDC) et son homologue rwandais veulent travailler ensemble à la fin de la violence le long de leur frontière commune

 

 

 

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Le président rwandais, Paul Kagame, deuxième à partir de la droite au premier rang, et le président de RDC, Félix Tshisekedi, juste derrière lui au second rang, lors du sommet de l'Union africaine, le 10 janvier 2019 à Addis Abeba. (MINASSE WONDIMU HAILU / ANADOLU AGENCY)

 

 

 

 

La RDC, immense pays, riche en ressources naturelles, a été massivement déstabilisée par le génocide de 1994 au Rwanda, au cours duquel en cent jours, au moins 800 000 personnes, selon l'ONU, ont péri, essentiellement des membres de la minorité tutsie et des Hutus modérés.

 

 

 

Pour Tshisekedi, "nos pays resteront voisins pour toute la vie"

Les massacres avaient conduit des centaines de milliers de réfugiés hutus, génocidaires pour certains d'entre eux, à venir s'installer dans l'est de la RDC, alors appelée Zaïre, entraînant une série d'événements ayant débouché sur deux guerres en 1996-1997 et 1998-2003.

 

 

"Nos pays resteront voisins pour toute la vie et nous, nous ne sommes que des acteurs spontanés, nous passons à un moment donné (...). Donc se faire la guerre, entretenir des tensions inutiles, c'est une perte de temps. C'est une perte de temps que nous aurions pu mettre à profit pour bâtir, pour reconstruire", a déclaré Félix Tshisekedi à l'occasion de l'Africa CEO Forum des 25 et 26 mars 2019 à Kigali.

 

 

Le président congolais s'y exprimait devant un panel avec son homologue rwandais, Paul Kagame, qu'il avait déjà rencontré une première fois le 17 janvier 2019 à l'occasion du sommet de l'Union africaine à Addis Abeba.

 

 

"A propos des groupes armés (présents dans l'est de la RDC), il y a un constat : ce sont devenus aujourd'hui des petits groupes d'intérêts, d'intérêts mesquins bien sûr, ce ne sont plus des gens qui se battent pour une idéologie ou une raison stratégique quelconque", a poursuivi Félix Tshisekedi.

 

 

 

Kagame prêt à relever les défis d'une amélioration des relations

Il a ajouté que les autorités congolaises travaillaient avec leurs partenaires du développement à réintégrer ces groupes et à les décourager de poursuivre leurs activités. Parmi les nombreux groupes armés actifs dans l'est de la RDC figurent des groupes rebelles rwandais opposés au président Kagame, qui ont mené par le passé des attaques transfrontalières contre les forces armées rwandaises. Le Rwanda a par ailleurs été accusé, notamment par les Nations unies et des groupes de défense des droits de l'Homme, de mener des activités de contrebande depuis la RDC, ce que Kigali a toujours nié.

 

 

De son côté, Paul Kagame a déclaré qu'il souhaitait travailler à améliorer les relations bilatérales avec son voisin. "Mes problèmes au Rwanda sont au final les mêmes problèmes que ceux que rencontrent les gens en RDC et vice versa. Nous devons relever ces défis", a déclaré le président rwandais. "Félix Tshisekedi a pris des engagements envers le peuple de RDC et envers les peuples de la région. Nous devons le croire et tendre la main de la coopération, comme il le fait avec nous, et voir jusqu'où nous pouvons aller", a-t-il ajouté.

 

 

 

Le président de RDC au mémorial du génocide

En marge de cette visite dans la capitale rwandaise, le nouveau président de RDC en a profité pour faire un geste significatif, même s'il est diversement apprécié. Il s’est incliné le 25 mars devant le mémorial du génocide, une première dans les relations complexes entre les deux pays depuis 1994. "SE Félix Tshisekedi dépose une gerbe de fleurs au mémorial du génocide de Kigali", indique le commentaire d'une photo postée sur le compte Twitter du Kigali memorial genocide, quinze jours avant les commémorations du 25e anniversaire du déclenchement du génocide le 7 avril.

 

 

"A quand des mémoriaux et une commémoration officielle (pour les) millions de morts congolais, depuis Léopold II jusqu'aux guerres et violences de ces 25 dernières années ?", s'est toutefois interrogé le mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha). Lancé par des étudiants et des intellectuels de l'est de la RDC, Lucha estime cependant que le président congolais honore "à juste titre" la mémoire des victimes du génocide des Tutsis.

 

 

Le geste de M. Tshisekedi a malgré tout suscité la colère de plusieurs internautes congolais, qui accusent le Rwanda d'être à l'origine des millions de morts dans l'est du Congo entre 1996 et 2003, ou de piller des minerais rares au Kivu. "Une honte historique pour les dirigeants congolais. Le Rwanda a violé la souveraineté de la RDC. Comment un Congolais peut-il aller s'incliner au Rwanda, un pays qui a commis des graves crimes contre l'humanité ? A ce jour, Kagame refuse d'accepter ses crimes en RDC, c'est grave", résume l'un d'eux.

 


28/03/2019
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Franceinfo - le dimanche 3 février 2019

 

 

"La foi en Dieu unit et ne divise pas" : François se rend dans la péninsule arabique, une première pour un pape

Le chef de l'Église catholique se rend aux Émirats arabes unis dimanche pour une visite de deux jours

 

 

 

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Le pape François lors de son déplacement au Panama, le 27 janvier 2019. (JOHAN ORDONEZ / AFP)

 

 

Le pape François s'envole pour les Émirats arabes unis dimanche 3 février. Le souverain pontife va passer deux jours dans la capitale Abu Dhabi, pour une visite centrée sur le dialogue interreligieux. Ce sera le premier voyage d'un pape dans la péninsule arabique, berceau de l'islam.

 

 

Ce sont les Émirats arabes unis qui ont invité le chef de l'Église catholique parce qu'en 2019 le pays célèbre l'année de la tolérance. Le terrain est donc favorable à l'expression de la thèse de François, ce pape qui multiplie depuis le début de son pontificat les voyages en terre musulmane. La foi unit chrétiens et musulmans, soutient-il. "Je suis heureux d’écrire sur votre chère terre une nouvelle page d’histoire dans les relations entre les religions, confirmant que nous sommes des frères tout en étant différents, a déclaré François. La foi en Dieu unit et ne divise pas, elle nous rapproche malgré nos différences, elle éloigne les hostilités et l’aversion."

Messe en plein air dans un stade

Les catholiques, qui représentent 10% de la population des Émirats arabes unis, pourront suivre la messe en plein air célébrée par le pape mardi dans un stade d’Abu Dhabi. Avec 130 000 fidèles attendus, on l’annonce comme le plus grand rassemblement jamais organisé dans le pays. Enfin, en privé, le pape devrait aussi évoquer le conflit au Yémen, dans lequel les Émirats sont impliqués militairement aux côtés de l’Arabie saoudite.

 


03/02/2019
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Franceinfo - le dimanche 6 janvier 2019

 

 

Libérés de la dictature, les journalistes veulent conforter une presse libre en Gambie

 

 

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Eléonore Abou EzRédaction AfriqueFrance Télévisions
 

 

 

Deux ans après le départ du président Yahya Jammeh, le Syndicat de la presse gambienne a mis en place un organisme d’autoréglementation pour consolider la liberté de la presse et créer un climat de confiance

 

 

 

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Un homme sur son vélo devant un graffiti sur un mur de Banjul, en Gambie, en janvier 2017 (photo d'illustartion).  (SYLVAIN CHERKAOUI/AP/SIPA / AP)

 

 

 

Pendant plus de 20 ans, des journalistes gambiens ont été régulièrement enlevés, torturés et assassinés. La Gambie, petit pays anglophone d'Afrique de l'Ouest, était alors dirigé d’une main de fer par Yahya Jammeh. Depuis sa défaite à la présidentielle fin 2016, et l’investiture du président Adama Barrow, les choses ont bien changé.

 

 

 

Une ouverture inédite

Chaîne de télévision privée, radios commerciales, nouvelles publications, débats politiques… La presse gambienne connaît "un essor fulgurant et une ouverture sans précédent", comme l’a souligné RSF. En 2018, la Gambie a enregistré la meilleure progression en matière de liberté de la presse, selon le classement mondial de Reporters sans Frontières.

 

 

Nous sommes dans une nouvelle ère pour la presse en GambieArnaud Froger, responsable du bureau Afrique de RSF à Associated Press

 

 

 

Des lois liberticides

La liberté d’expression actuelle n’est pas garantie par la loi. Les journalistes peuvent toujours être poursuivis pour sédition, diffamation ou publication et diffusion de fausses informations.

 


Le ministre gambien de l’Information, Ebrima Sillah, s’est engagé à faire le nécessaire pour que les médias "continuent à fonctionner sans restrictions", rapporte l’agence Associated Press.

 

 

Vous ne pouvez pas prétendre être un représentant légitime des Gambiens s'ils ne vous font pas confianceSaikou Jammeh, secrétaire général du syndicat de la presse en Gambie à Associated Press

 

 

 

Réforme et autoréglementation

Le Syndicat de la presse gambienne (Gambia Press Union) insiste sur la révision de la loi pour garantir la liberté de la presse sur le long terme. Il mise aussi sur de nouvelles règles qui seront édictées par les journalistes eux-mêmes. Un nouveau Conseil des médias a été mis en place afin de renforcer la liberté de la presse et de gagner la confiance des Gambiens.

 


08/01/2019
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