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Encore hier, sur CNEWS, dans l'émission "Les points sur les i", avec Yvan Rioufol il était question d'un changement futur, d'un déclin de la France.

A moins d'être aveugle, il faut avouer que la société n'a plus rien de collectif. Les gens ne s'engagent plus, moi la première, je dois l'avouer. Nous sommes dans une société où règne l'individualiste (l'individu et les minorités sont rois). Voilà pour ce début de XXIe siècle les conclusions que l'on pourrait tirer.

L'État, ne fait rien à part distribuer de l'argent qu'il n'a pas, pour essayer d'éviter la pagaille. Il achète même la paix sociale. Trop laxiste, sauf pour le COVID où il a imposé le Pass sanitaire, poussant ainsi la population à se faire vacciner. Pour moi, chacun doit faire comme il le ressent. On ne peut pas dire que cela m'a inspiré confiance. Je ne suis d'ailleurs pas vaccinée. Fort heureusement, les cas de COVID diminuent de jour en jour. Attendons la suite des évènements.

En avril 2022 se profilent les élections présidentielles. Beaucoup de personnes voient en Éric Zemmour, un sauveur potentiel. Après deux ans passés sur CNEWS, dans l'excellente émission de "Face à l'info", et malheursement, évincé par le CSA, dernièrement car trop présent à l'antenne, alors qu'il n'as pas déposé sa candidature, les téléspectateurs on pu juger de son intelligence, de la pertinence des analyses de ses chroniques et sur ceci tous les sujets. 

Faut-il que l'État et les autres partis (de gauche comme de droite) le perçoivent  comme  un danger potentiel. Il est d'ailleurs, à l'heure d'aujourd'hui, crédité de 10 % des intentions de vote selon l'organisme Harris Interactive.

Il faut dire qu'il s'exprime sans "langue de bois" ce qui a été, je pense, super préjudiciable pour les politiques des quarante dernières années et qui leur revient à présent dans la figure, tel un boomerang. On récolte se que l'on sème. Le politiquement correct n'a que trop duré. Tous les citoyens on le droit d'avoir leur vision, leur opinion. Pour une démocratie, on n'a été que trop muselé hypocritement.

Dès qu'on parlait entre autre, du phénomène migratoire, on était raciste et traité de "lepéniste"... C'est cela la démocratie ? Beaucoup d'immigrés en on d'ailleurs bien profités, et ils ont eu raison puisque l'État n'a pas réagit. Seulement, maintenant, la machine s'est emballée. La situation n'est hélas plus maîtrisée. 

Avec l'Europe, qui n'existe pas encore, dans beaucoup de domaines (les peuples, la défense...), on a perdu notre droit pour l'application de règles dans notre propre pays. On se fait retoquer, par exemple, si ont décide d'arrêter une politique migratoire. Non, ce n'est pas concevable. On ne peut pas tout accepter.